Un siècle et demi après sa création, SEPR l’École des métiers met en œuvre un projet pédagogique dont, bien sûr, les modalités n’ont plus grand-chose à voir avec ce qu’elles étaient sous le Second Empire. Néanmoins, la finalité demeure : ne pas se contenter de « fabriquer des diplômés », mais aussi « former des citoyens ».
Par ailleurs, depuis mars 2020, la crise sanitaire a imposé de repenser en urgence toutes les formations et amené les équipes pédagogiques à accélérer la transformation de leurs pratiques – en donnant notamment une plus large place aux outils numériques.
Nul doute que François-Barthélemy Arlès-Dufour, fondateur de la SEPR en 1864, serait satisfait : en 160 ans, la SEPR n’a rien perdu de son ADN.
« La SEPR n’a pas vocation à « fabriquer » des diplômés mais à offrir à chacune et à chacun, d’où qu’elle ou il vienne et où qu’elle ou il veuille aller, un parcours de formation qui lui assure des compétences professionnelles, mais l’aide aussi à construire les fondations de sa vie de citoyen ».
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